Retrouvez pour chaque plage du cd de Pascal, des explications pour en savoir plus sur le contexte du morceau, le/les violoneux qui l'ont interprété avant lui, des liens vers les archives sonores et/ou vidéos et plus encore. Parfois, un des morceaux du cd vous sera proposé à l'écoute. Bonne découverte.

Une mélodie, trois versions : anatomie de l’avant-deux en bocage
Trois versions d’un thème mélodique incontournable, connu, lors de leur apprentissage, de presque tous les violoneux collectés en bocage, qui résume à lui seul l’âme de cette danse emblématique : l’avant-deux, avec une structure à deux thèmes principaux A-B, joués sur deux rythmiques, ternaire et binaire, avec variation de la sensible ou sous- tonique sur le mode majeur, à tempérament inégal lié au placement du deuxième doigt en première position, caractéristique chez presque tous les violoneux en bocage, avec agencement des reprises de figures de la danse décliné suivant les «micro-territoires» auxquels elles appartiennent.
Chanter pour ne pas oublier

Les paroles servant de support pouvaient également varier : « Il est mort le père aux Louis d’or Tu n’le verras plus le père aux écus (ou : il ne pèt’ra plus...) ou Al ét morte la chèvre a Becot A becot'rat pu la chèvre a Bouju... »
Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
Une mélodie, trois versions : anatomie de l’avant-deux en bocage (copie)
Trois versions d’un thème mélodique incontournable, connu, lors de leur apprentissage, de presque tous les violoneux collectés en bocage, qui résume à lui seul l’âme de cette danse emblématique : l’avant-deux, avec une structure à deux thèmes principaux A-B, joués sur deux rythmiques, ternaire et binaire, avec variation de la sensible ou sous- tonique sur le mode majeur, à tempérament inégal lié au placement du deuxième doigt en première position, caractéristique chez presque tous les violoneux en bocage, avec agencement des reprises de figures de la danse décliné suivant les «micro-territoires» auxquels elles appartiennent.
Chanter pour ne pas oublier (copie)

Les paroles servant de support pouvaient également varier : « Il est mort le père aux Louis d’or Tu n’le verras plus le père aux écus (ou : il ne pèt’ra plus...) ou Al ét morte la chèvre a Becot A becot'rat pu la chèvre a Bouju... »
Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
Une mélodie, trois versions : anatomie de l’avant-deux en bocage (copie)
Trois versions d’un thème mélodique incontournable, connu, lors de leur apprentissage, de presque tous les violoneux collectés en bocage, qui résume à lui seul l’âme de cette danse emblématique : l’avant-deux, avec une structure à deux thèmes principaux A-B, joués sur deux rythmiques, ternaire et binaire, avec variation de la sensible ou sous- tonique sur le mode majeur, à tempérament inégal lié au placement du deuxième doigt en première position, caractéristique chez presque tous les violoneux en bocage, avec agencement des reprises de figures de la danse décliné suivant les «micro-territoires» auxquels elles appartiennent.
Chanter pour ne pas oublier (copie)

Les paroles servant de support pouvaient également varier : « Il est mort le père aux Louis d’or Tu n’le verras plus le père aux écus (ou : il ne pèt’ra plus...) ou Al ét morte la chèvre a Becot A becot'rat pu la chèvre a Bouju... »
Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
Une mélodie, trois versions : anatomie de l’avant-deux en bocage (copie) (copie)
Trois versions d’un thème mélodique incontournable, connu, lors de leur apprentissage, de presque tous les violoneux collectés en bocage, qui résume à lui seul l’âme de cette danse emblématique : l’avant-deux, avec une structure à deux thèmes principaux A-B, joués sur deux rythmiques, ternaire et binaire, avec variation de la sensible ou sous- tonique sur le mode majeur, à tempérament inégal lié au placement du deuxième doigt en première position, caractéristique chez presque tous les violoneux en bocage, avec agencement des reprises de figures de la danse décliné suivant les «micro-territoires» auxquels elles appartiennent.
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Les paroles servant de support pouvaient également varier : « Il est mort le père aux Louis d’or Tu n’le verras plus le père aux écus (ou : il ne pèt’ra plus...) ou Al ét morte la chèvre a Becot A becot'rat pu la chèvre a Bouju... »
Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
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Trois versions d’un thème mélodique incontournable, connu, lors de leur apprentissage, de presque tous les violoneux collectés en bocage, qui résume à lui seul l’âme de cette danse emblématique : l’avant-deux, avec une structure à deux thèmes principaux A-B, joués sur deux rythmiques, ternaire et binaire, avec variation de la sensible ou sous- tonique sur le mode majeur, à tempérament inégal lié au placement du deuxième doigt en première position, caractéristique chez presque tous les violoneux en bocage, avec agencement des reprises de figures de la danse décliné suivant les «micro-territoires» auxquels elles appartiennent.
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Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
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Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
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Trois versions d’un thème mélodique incontournable, connu, lors de leur apprentissage, de presque tous les violoneux collectés en bocage, qui résume à lui seul l’âme de cette danse emblématique : l’avant-deux, avec une structure à deux thèmes principaux A-B, joués sur deux rythmiques, ternaire et binaire, avec variation de la sensible ou sous- tonique sur le mode majeur, à tempérament inégal lié au placement du deuxième doigt en première position, caractéristique chez presque tous les violoneux en bocage, avec agencement des reprises de figures de la danse décliné suivant les «micro-territoires» auxquels elles appartiennent.
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Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
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Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
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Les paroles servant de support pouvaient également varier : « Il est mort le père aux Louis d’or Tu n’le verras plus le père aux écus (ou : il ne pèt’ra plus...) ou Al ét morte la chèvre a Becot A becot'rat pu la chèvre a Bouju... »
Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
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Trois versions d’un thème mélodique incontournable, connu, lors de leur apprentissage, de presque tous les violoneux collectés en bocage, qui résume à lui seul l’âme de cette danse emblématique : l’avant-deux, avec une structure à deux thèmes principaux A-B, joués sur deux rythmiques, ternaire et binaire, avec variation de la sensible ou sous- tonique sur le mode majeur, à tempérament inégal lié au placement du deuxième doigt en première position, caractéristique chez presque tous les violoneux en bocage, avec agencement des reprises de figures de la danse décliné suivant les «micro-territoires» auxquels elles appartiennent.
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Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
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Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
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- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
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Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
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Seule la deuxième version recueillie auprès de Maximin comporte des paroles attribuées, nous a-t-il dit, à sa grand-mère quand elle gardait ses oies (les pirotes, en parler poitevin) ; le tét : le toit (abri aux animaux). « A sant den l’tét lés pirotes lés pirotes A sant den l’tét les pirotes a mémé... » Les « gavottes » ou refrains chantés constituaient le repère essentiel pour mémoriser un air.
- Marcel Fortin (1908-1986), La Roche-Bordron, Les Epesses (85). Fonds Arcup, enquête 1981, Cerdo 003625_02.
- Maximin Rambaud (1911-1991), Pouzauges, né aux Essarts (85). Cf. - Arcup, Chez Maximin, Violons du bocage n° 2, Geste paysanne, UPCOOP n°20.
- Paul Micheneau (1904-1998), Les Places, Moncoutant (79). Cf. Arcup Chez Paul, Violons du bocage, Geste paysanne, UPCOOP n° 11.
